L'hypnose : une évidence
Comme tout bon thérapeute, j'ai le syndrome du sauveur. Mais ça n'a pas toujours été le cas. Au départ, j'étais parti pour faire du marketing du luxe. Et puis, en 2015, j'ai rencontré l'hypnose. L'évidence a été immédiate.
Vous auriez dû voir la tête de mes parents : "Papa, Maman, je vais devenir hypnothérapeute". Mon père a paniqué, pensant que j'allais faire du spectacle. Ma mère ? Elle pense encore aujourd'hui que je suis un diététicien un peu perché…
Alors, j'ai commencé à travailler sur moi pour la première fois. J'ai redoublé, je me suis dépassé, jusqu'à débloquer enfin cette empathie essentielle. Suite à cela, je me suis spécialisé. Car pour moi, un bon accompagnement est un accompagnement d'expert. Je préfère voir un chirurgien de la main pour un problème de main, plutôt qu'un généraliste. Pas vous ?
Je vais être franc, je n'ai jamais eu de troubles alimentaires, je ne suis ni psy, ni diététicien. Je ne projette rien. J'enfile vos chaussures et j'enquête avec vous dans votre monde pour trouver la solution.
Et cette démarche, aussi surprenante soit-elle, a été bien plus efficace que des années de théories sur les bancs de la fac… À vous de voir en écoutant les audios d'hypnose dans la newsletter.
Ma vision de l'accompagnement
Aucun interdit, aucune restriction. Rendre un aliment rare, c'est le rendre précieux. Ici, c'est l'abondance de tout ce que vous aimez pour le rendre moins désirable.
Ça semble compliqué ? On va faciliter tout ça ! On va débloquer les parties de votre cerveau et de votre inconscient qui vous empêchent d'écouter pleinement votre estomac. Parce que oui, ici on ne fait pas que manger en conscience. On libère son cœur et sa vie.