Audio d’hypnose pour perdre du poids : La méthode Hypnose Poids Plume. 

Audio d’hypnose pour perdre du poids : La méthode Hypnose Poids Plume.

15 minutes chaque matin, c’est tout ce dont vous avez besoin pour commencer à changer en profondeur votre rapport à la nourriture.

C’est à partir de cet acte fondateur que vous allez commencer à transformer votre rapport aux excès et grignotage définitivement.

Fort de mes dix dernières années d’expérience à aider les femmes à perdre du poids définitivement, je vous ai concentré ce qu’il y a le mieux marché dans ces audios pour un maximum de bénéfice.

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La nourriture qui nous accompagne du matin au soir

Cette angoisse familière au réveil. Avant même d’ouvrir les yeux, la première pensée est pour elle : la nourriture. La journée qui s’annonce ressemble à une bataille perdue d’avance contre les compulsions, la balance et cette petite voix qui juge chaque bouchée. Vous avez tout essayé : la volonté, les régimes, la restriction. Chaque tentative se solde par le même échec, la même culpabilité.

Et si la solution n’était pas dans la force, mais dans la douceur ? Si, au lieu de vous battre, vous preniez 15 minutes chaque matin pour vous reconnecter à vous-même ?

Pourquoi ce rituel matinal d’hypnose peut changer votre relation avec la nourriture ?

S’extraire des troubles du comportement alimentaire (TCA) comme la boulimie ou l’hyperphagie n’est pas un sprint, mais une transformation profonde. Consacrer 10 à 15 minutes chaque matin à une séance d’hypnose audio n’est pas un gadget, c’est un acte fondateur. C’est un rendez-vous. Un moment sacré que vous vous accordez avant que le tumulte du monde ne s’impose. Cette régularité est la première clé.

Plus qu’une simple relaxation, une reprogrammation de l’inconscient

Contrairement à ce que l’on imagine, l’hypnose thérapeutique n’a rien à voir avec le spectacle. C’est un état naturel de conscience modifiée, un peu comme lorsque vous êtes « dans la lune » en conduisant. Cet état permet de contourner le mental, celui qui calcule les calories et qui vous juge, pour s’adresser directement à votre inconscient. C’est là que sont stockées les blessures, les émotions et les automatismes qui déclenchent les crises.

L’audio vous guide pour parler à cette partie de vous, souvent une version plus jeune de vous-même qui a besoin d’être rassurée et rééduquée.

Créer une fondation de sécurité intérieure pour la journée

Les personnes qui écoutent sérieusement ces audios le matin rapportent un changement majeur : elles se sentent plus posées, moins en proie à l’anxiété alimentaire. La journée ne commence plus sur un champ de bataille, mais sur un socle de calme. En nourrissant votre esprit de messages apaisants et constructifs dès le réveil, vous construisez une résilience qui vous portera tout au long de la journée, rendant les déclencheurs habituels (stress, contrariété) beaucoup moins puissants.

Que se passe-t-il pendant ces 15 minutes d’hypnose ? Un aperçu des premiers jours

Les premiers audios sont conçus comme un chemin progressif pour vous réapprendre à vous écouter et à vous apaiser. Voici ce que vous découvrirez :

  • Jour 1 : Démystifier l’hypnose et poser les bases de la thérapie. Vous comprendrez comment l’hypnose va vous aider à vous défaire des troubles alimentaires en travaillant sur les émotions qui vous font manger sans faim : la colère, la tristesse, la culpabilité, la honte. L’importance de ce rendez-vous quotidien avec vous-même est établie.
  • Jour 2 : La rencontre avec votre source intérieure. Vous apprendrez à visualiser une source lumineuse, une chaleur douce à l’intérieur de vous. Cette lumière devient un outil puissant pour vous apaiser, vous calmer et remplir le vide intérieur pour ne plus avoir à le faire avec la nourriture.
  • Jour 3 : Se pardonner et avancer. Guidée par cette lumière intérieure, vous commencerez à vous pardonner. Vous pardonner les excès, les régimes que vous vous êtes infligés, les moments où vous vous êtes oubliée. C’est une étape essentielle pour briser le cercle de la culpabilité.
  • Jour 4 : Déposer l’armure de la protection. Le surpoids, le gras, est souvent une armure inconsciente. Une protection contre les blessures du monde extérieur. Cet audio vous aide à comprendre ce mécanisme pour progressivement vous en défaire, en construisant une sécurité qui vient de l’intérieur, et non plus de l’extérieur.
  • Jour 5 : Remplir le vide intérieur autrement qu’avec la nourriture. Ce n’est pas la nourriture le problème, mais le vide qu’elle tente de combler. Cette séance vous apprend à nourrir cet espace intérieur avec des choses saines : de la lumière, de la bienveillance, de l’amour de soi, pour que la nourriture retrouve sa juste place.

L’hypnose, une alternative douce pour sortir de la boulimie et de l’hyperphagie

Les régimes et la restriction vous ont appris à vous méfier de votre corps et à voir la nourriture comme une ennemie. L’hypnose fait exactement l’inverse. Elle vous réconcilie avec vos ressentis. Vous réapprenez à écouter votre faim et votre satiété, ces signaux que votre corps vous envoie mais que le bruit mental des TCA a rendu inaudibles.

L’approche se concentre sur votre niveau de bonheur intérieur. Une crise de boulimie ou d’hyperphagie survient presque toujours lorsque ce niveau de bien-être chute brutalement. En travaillant chaque jour à renforcer vos fondations intérieures, à guérir les blessures qui provoquent ces chutes, vous agissez sur la cause profonde du trouble, et non plus seulement sur son symptôme.

Prendre 15 minutes chaque matin, c’est choisir une nouvelle voie. C’est décider que la journée ne sera plus dictée par la peur de la crise, mais par l’envie de se faire du bien. C’est un investissement patient et profond en vous-même.

Les premiers changements sont souvent subtils : une faim moins présente, une plus grande sérénité. Parfois, les audios peuvent bousculer, car ils touchent à des émotions enfouies. C’est le signe que le travail opère.

Ce n’est pas une solution miracle, mais un chemin. Un chemin plus doux, plus juste et infiniment plus efficace que toutes les batailles que vous avez menées jusqu’à présent.

Pour commencer ce voyage, les 5 premiers jours d’hypnose vous sont offerts. C’est le premier pas pour vous prouver que le changement est possible.

Découvrez les 5 audios offerts et commencez votre transformation dès demain matin.


Mincir à la retraite : comment faire avec l’Hypnose ?

Mincir à la retraite : comment faire avec l’Hypnose ?

« Avec la ménopause, c’est beaucoup plus difficile de perdre du poids. « 

Voilà sûrement la phrase que vous vous dites depuis que vous avez pris du poids après ce changement de cap important dans la vie d’une femme.

Gardez en tête que l’arrivée de la ménopause n’est pas la fin de la vie, mais c’est la fin d’un premier cycle de vie.

En général, à partir de 45 ans, on a bien plus confiance en soi qu’à 20ans.

On sait davantage dire « non » et s’affirmer.

Il vous reste encore de longues années à vivre, autant les rendre les plus heureuses, non ?

Perdre du poids à la retraite : et si le vrai combat n’était pas dans l’assiette ?

« Je pensais que la retraite serait une libération. Au lieu de ça, j’ai l’impression d’être encore plus prisonnière… de mon frigo. »

Ces mots, c’est Françoise qui les a prononcés lors de notre première séance. Sexagénaire, dynamique, elle avait attendu la retraite avec une impatience folle. Le projet était clair : prendre soin d’elle, voyager un peu, et enfin perdre ce poids qui la complexait depuis des années. Mais la réalité a été tout autre. Seule à la maison, avec un temps infini et un silence pesant, la nourriture est devenue sa seule compagnie, son unique réconfort. L’hyperphagie, discrète pendant ses années de travail, avait pris toute la place.

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La ménopause : le miroir d’une nouvelle vie

La retraite, ce n’est pas toujours le tableau idyllique qu’on imagine. Pour beaucoup de femmes, c’est une transition brutale. C’est la fin d’un rythme, d’un rôle social, d’une utilité. Et dans ce vide, les vieux démons ressurgissent. Le trouble alimentaire, qu’il s’agisse de boulimie ou d’hyperphagie, s’engouffre dans la brèche.

Françoise me racontait ses journées, rythmées non pas par des activités, mais par des obsessions :

« Je pense au repas du midi dès le petit-déjeuner terminé. Je lutte toute la matinée pour ne pas grignoter, puis je craque. L’après-midi, c’est la culpabilité qui m’écrase, et le soir, pour me consoler de ma journée ratée… je mange à nouveau. »

Chaque régime essayé était une nouvelle bataille perdue, renforçant sa conviction d’être sans volonté.

Le déclic perte de poids : la faim de sens, pas de nourriture

Pendant une séance, alors qu’elle décrivait une crise de compulsion, elle s’est arrêtée net. Elle a fermé les yeux, et a murmuré une phrase qui a tout changé : « En fait… ce n’est pas de faim dont je souffre. C’est de vide. »

Ce fut son moment de bascule. La prise de conscience que son problème n’était pas un manque de contrôle, mais une tentative désespérée de remplir un vide existentiel. La nourriture n’était pas l’ennemi, elle était le pansement sur une blessure invisible. Tant qu’elle se battait contre le poids, elle se trompait de combat. Le vrai sujet, c’était ce sentiment de n’être plus personne, de ne plus servir à rien. Une angoisse que la nourriture venait anesthésier.

Votre inconscient, ce protecteur maladroit face aux TCA

C’est précisément ici que les régimes montrent leur inutilité et leur danger. Un régime vous dit quoi manger. Il ne vous demande jamais pourquoi vous mangez. Il traite le symptôme, jamais la cause. Pour votre inconscient, la crise de boulimie ou d’hyperphagie est une stratégie de survie. C’est une façon, bien que destructrice, de vous protéger d’une émotion trop douloureuse : la solitude, l’ennui, l’angoisse du temps qui passe.

Lui imposer une restriction, c’est comme retirer sa seule bouée de sauvetage à quelqu’un qui se noie. Le résultat ? Il s’y accrochera encore plus fort. C’est pour cette raison que chaque régime se termine par une reprise de poids, souvent supérieure, et un sentiment d’échec dévastateur.

L’hypnose pour apaiser l’inconscient et sortir des TCA

L’hypnothérapie propose un chemin radicalement différent. Nous n’allons pas déclarer la guerre à votre corps ou à votre alimentation. Au contraire. Nous allons entamer un dialogue bienveillant avec votre inconscient. L’objectif est de comprendre pourquoi il a mis en place cette stratégie de la compulsion alimentaire et de lui proposer d’autres options, plus saines et plus douces, pour gérer vos émotions.

Il ne s’agit pas de volonté, mais de reprogrammation. En état d’hypnose, nous aidons votre esprit à trouver de nouvelles sources de réconfort, de sécurité et de plaisir. Nous l’aidons à comprendre que vous n’êtes pas définie par votre travail passé, mais par la personne que vous êtes aujourd’hui. C’est une thérapie qui ne cherche pas à vous contraindre, mais à vous libérer de l’intérieur.

La retraite ne devrait pas être une condamnation à lutter contre son corps. C’est une chance de faire enfin la paix avec soi-même. Le véritable objectif n’est pas de perdre du poids à tout prix, mais de retrouver une légèreté d’être, de se sentir sereine à table et dans sa vie.

L’hypnose est une clé pour ouvrir cette porte et transformer cette étape de vie en une véritable renaissance, libérée du fardeau des troubles alimentaires.

Mes traumatismes du passé me font grossir : comment l’hypnose peut aider ?

Mes traumatismes du passé me font grossir : comment l’hypnose peut aider ?

Quand le poids sur la balance est le poids du passé : le lien entre traumatisme et TCA

« Je ne comprends pas, je mange pour me calmer, mais c’est comme si je nourrissais une faim qui ne s’arrête jamais. »

Cette phrase, je l’entends si souvent en séance. Derrière elle se cache une détresse immense, celle de femmes qui luttent contre leur corps, contre la nourriture, sans comprendre l’origine de leur combat. Elles ont essayé tous les régimes, consultés des nutritionnistes, mais les crises de boulimie ou d’hyperphagie reviennent toujours, plus fortes.

La raison ? Le problème n’est pas dans l’assiette. Il est dans le passé.

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Le traumatisme : bien plus qu’une simple blessure

Quand on parle de traumatisme, on imagine souvent un événement unique et violent. Un accident, une agression. Et c’est vrai, cela en fait partie. Mais le spectre du traumatisme est bien plus large. Il inclut aussi ces blessures invisibles, répétées, qui ont laissé une empreinte. Un climat familial anxiogène. Le sentiment de n’avoir jamais été en sécurité. Des paroles humiliantes entendues pendant l’enfance. L’absence d’un regard aimant ou rassurant.

Ces événements, parfois considérés comme « pas si graves », sont ce qu’on appelle des traumatismes complexes.

Leur point commun ? Ils ont créé une faille dans votre système de sécurité intérieure. Le corps, lui, n’oublie jamais.

Comment l’inconscient utilise la nourriture pour survivre au traumatisme

Face à une souffrance qu’il ne peut pas gérer, votre inconscient met en place des stratégies de survie. La nourriture en est une des plus puissantes. C’est un mécanisme de protection archaïque et terriblement efficace, au début.

Pour anesthésier la douleur : Manger, surtout des aliments sucrés et gras, libère des hormones de bien-être qui apaisent temporairement l’anxiété. Une crise de boulimie ou d’hyperphagie devient alors une tentative désespérée de calmer une angoisse insupportable. C’est comme mettre un couvercle sur une marmite d’émotions bouillantes. Vous ne mangez pas vos émotions, vous mangez pour ne plus les sentir.

Pour créer une carapace : Le poids peut devenir une armure inconsciente. Prendre du poids, c’est une façon de mettre de la distance avec le monde extérieur, de se rendre moins « désirable » ou visible, surtout si le traumatisme est lié à une violation de votre intimité. Cette graisse est un rempart, un frein inconscient qui vous empèchent d’être approchée, de revivre la même menace.

Pourquoi les régimes aggravent les troubles alimentaires post-traumatiques

Comprenez bien ceci : un régime est une restriction. Une violence. Pour un cerveau qui a déjà vécu un traumatisme, la restriction est interprétée comme une nouvelle menace, une nouvelle privation.

La réponse de votre système de survie est immédiate : il se défend. Il va déclencher des pulsions alimentaires encore plus fortes pour stocker de l’énergie et se protéger de cette « famine » que vous lui imposez.

Un régime, c’est redemander au corps de subir une violence qu’il cherche justement à fuir. C’est la garantie de renforcer le cycle infernal du trouble alimentaire : restriction, frustration, crise, culpabilité.

L’hypnose : dialoguer avec l’inconscient pour apaiser le passé

Sortir des TCA liés à un traumatisme ne se fait pas en comptant les calories. Cela se fait en apaisant la blessure originelle. C’est tout le sens de l’accompagnement par l’hypnose. Loin des clichés, l’hypnose est un état de conscience modifié qui permet d’accéder à votre inconscient, là où sont stockées les mémoires et les stratégies de survie.

Il ne s’agit pas de « revivre » le traumatisme, mais de le « résoudre ». En séance, nous n’allons pas vous forcer à manger des brocolis. Nous allons donner à la partie de vous qui a peur les ressources dont elle a manqué à l’époque. Nous allons lui apprendre de nouvelles façons de se sentir en sécurité, de se consoler, de gérer l’anxiété.

L’hypnose permet de reprogrammer en douceur ces automatismes. Le besoin de manger pour se calmer diminue, non par la volonté, mais parce que la cause profonde de l’angoisse a été entendue et apaisée.

Se libérer du poids du passé pour retrouver sa légèreté

Tant que vous vous battrez contre votre poids, vous vous battrez contre une partie de vous qui essaie de vous protéger. Le véritable chemin vers la guérison des troubles alimentaires comme la boulimie ou l’hyperphagie commence lorsque vous cessez de voir votre corps comme un ennemi. Il est votre allié. Il vous a maintenue en vie. Le travail en hypnose n’est pas de le soumettre, mais de l’écouter.

Pour enfin déposer le poids des années et retrouver non seulement votre poids de forme, mais surtout, votre paix intérieure et votre légèreté d’être.

Comment perdre du poids à la ménopause avec l’hypnose ?

Comment perdre du poids à la ménopause avec l’hypnose ?

Mon corps change, ma faim aussi : pourquoi la ménopause a réveillé mes crises de boulimie ? L’hypnose peut vous aider !

« Je ne comprends pas ce qu’il m’arrive. J’ai l’impression de redevenir une adolescente qui ne contrôle plus rien. Surtout pas la nourriture. »

Hélène a 52 ans. Pendant des années, elle a eu une relation à peu près stable avec son assiette. Des hauts, des bas, comme tout le monde. Mais depuis qu’elle est entrée en ménopause, c’est le chaos. Les fringales sont devenues des compulsions, le réconfort s’est transformé en rage alimentaire. Elle se bat contre un corps qu’elle ne reconnaît plus, et une faim qui semble vouloir combler un vide immense.

Le symptôme silencieux de la ménopause : le retour des TCA

Ce qu’Hélène vit, beaucoup de femmes le taisent, submergées par la honte. Elles pensaient les troubles du comportement alimentaire (TCA) derrière elles, relégués aux souvenirs de jeunesse. Et puis, la ménopause arrive, avec son cortège de bouffées de chaleur, de nuits hachées, et ce symptôme dont personne ne parle : la réactivation ou l’apparition de l’hyperphagie et de la boulimie.

Le schéma est souvent le même. Le corps change, la graisse se loge différemment, surtout au niveau du ventre. Le premier réflexe, presque un conditionnement, c’est de se mettre au régime. On restreint, on contrôle, on se pèse chaque jour. On espère maîtriser ce corps qui nous échappe. Mais à la ménopause, cette stratégie est une véritable déclaration de guerre contre soi-même.

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L’échec des régimes face aux tempêtes hormonales et émotionnelles

« Plus j’essaye de manger « light », plus je finis la tête dans le frigo le soir, dévorant tout ce que je me suis interdit. C’est un cercle vicieux, je me sens faible et nulle. »

Ce n’est pas un manque de volonté. C’est de la biologie. La chute des œstrogènes et de la progestérone ne se contente pas de perturber notre thermostat interne ; elle met le feu à notre équilibre émotionnel. Ces hormones jouaient un rôle clé dans la régulation de la sérotonine et de la dopamine, les molécules du bien-être et de la sérénité. Leur dérèglement crée un terrain propice à l’anxiété, à l’irritabilité, à une forme de mélancolie.

Face à cette tempête intérieure, la nourriture devient une bouée de sauvetage. Manger n’est plus une question de faim physique, mais une tentative désespérée de calmer l’angoisse, de remplir un vide affectif, de s’anesthésier. Le régime restrictif ne fait qu’amplifier ce phénomène. En créant de la frustration, il pave la voie à la crise de boulimie ou d’hyperphagie qui suit. Ce n’est pas un échec personnel, c’est une conséquence mécanique et prévisible.

Sortir de la lutte : quand l’hypnose s’adresse à l’inconscient

Continuer à se battre avec des outils qui ne fonctionnent pas – les régimes, le contrôle – ne mène qu’à l’épuisement et à la détestation de soi. Pour apaiser durablement sa relation à la nourriture à la ménopause, il faut changer de stratégie. Il faut arrêter de parler à sa volonté, et commencer à dialoguer avec son inconscient.

C’est là que l’hypnose prend tout son sens. Elle ne vous donnera pas un nouveau plan alimentaire. Elle ne vous demandera pas de résister à vos pulsions. L’hypnose va à la racine du problème : les automatismes et les émotions qui déclanchent les crises.

En état d’hypnose, on peut :

  • Désactiver les réflexes compulsifs. Un peu comme débrancher une alarme défectueuse qui se mettrait à sonner sans raison.
  • Apprendre à votre inconscient à gérer l’anxiété autrement qu’avec la nourriture. Lui proposer de nouvelles sources de réconfort, plus douces et plus constructives.
  • Réparer l’image de soi. Accepter ce corps qui change, non comme un ennemi, mais comme un allié qui traverse une nouvelle étape de vie.

La ménopause n’est pas une fin, c’est une transformation. C’est une période de vulnérabilité où les vieilles blessures peuvent se rouvrir. Tenter de la traverser en s’imposant la dureté d’un régime est une erreur. La solution est dans la douceur, dans l’écoute de ce que vos compulsions essaient de vous dire. L’hypnose vous donne les clés pour comprendre ce langage et enfin, trouver la paix. Non pas en contrôlant votre faim, mais en nourrissant ce qui, en vous, a vraiment besoin d’être apaisé.

Groupe de parole TCA : un soutien pour sortir de la boulimie et de l’hyperphagie ?

Groupe de parole TCA : un soutien pour sortir de la boulimie et de l’hyperphagie ?

« On te comprend. Bienvenue chez nous, ton nouveau chez toi ! »

C’est par ces mots que Juliette, nouvelle dans le groupe a été accueillie.

« Au début, j’avais une peur bleue. Parler de mes crises de boulimie, de ma honte… devant des inconnues ? Jamais. Et puis, j’ai entendu une autre femme mettre des mots sur ma propre souffrance. Pour la première fois, je n’étais plus la seule au monde. »

Cette phrase, c’est celle de Juliette. Et elle résume tout.

Elle avait peur d’arriver dans un groupe cliché des « alcooliques anonymes », même si de ses propres mots, elle ne sait pas trop ce que c’est car elle n’y est jamais allée.

Les idées reçues sur le sujet, elle en avait communiqué par les médias qui montrent souvent des groupes de personnes marginaux réunies autour d’un psy qui ne semble pas respirer non plus le bonheur.

Mais dans le groupe, c’est tout autre chose qu’elle a rencontré.

Le choc de la reconnaissance : une thérapie de groupe pour guérir

Imaginez maintenant un endroit où vous entrez, le cœur serré, et où les premières paroles que vous entendez sont : « Bienvenue. On sait ce que tu traverses. On est passées par là aussi. » C’est ça, la magie d’un groupe de parole.

Ici, il n’y a pas de jugement. Il n’y a que de l’accueil. Les nouveaux membres sont accueillis par les anciens, qui ont eux-mêmes été nouvelles un jour. C’est leur rôle, leur mission presque, de vous mettre à l’aise. Ils savent la terreur que l’on ressent au début. Ils connaissent le poids du silence. Ils savent que le premier pas est le plus difficile. Voir d’autres femmes, à différents stades de leur cheminement, parler ouvertement de leurs victoires et de leurs doutes est une source d’inspiration incroyable.

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La prison silencieuse des troubles du comportement alimentaire

Vivre avec un trouble alimentaire, que ce soit la boulimie ou l’hyperphagie qui mène à une prise de poids non désirée, c’est souvent vivre dans le secret. C’est organiser sa vie autour de la nourriture, manger en cachette pour ne pas être jugée, annuler des sorties pour ne pas affronter le regard des autres. On se sent anormale, coupable, sans volonté.

« Ma vie sociale s’était réduite à néant. La honte de mon corps et de mes compulsions m’empêchait de vivre. J’étais persuadée que personne ne pouvait comprendre cet enfer. »

Ce témoignage est celui de milliers de femmes. Une prison dorée où la nourriture est à la fois la geôlière et la seule consolatrice. On essaie des solutions, on voit une nutritionniste, un psychologue, mais le sentiment de solitude persiste et les résultats durables se font attendre. On se sent profondément incomprise.

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L’analyse du thérapeute : briser l’isolement pour soigner l’inconscient

Pourquoi est-ce si puissant ? Car le trouble alimentaire se nourrit de l’isolement. La honte est son carburant. En groupe, ce mécanisme est pulvérisé.

  1. Vous n’êtes plus seule : Le simple fait de verbaliser sa souffrance et de voir dans les yeux des autres une lueur de compréhension a un effet thérapeutique immédiat. La charge mentale diminue.
  2. La déculpabilisation : Entendre les autres raconter des histoires similaires à la sienne permet de comprendre que le TCA n’est pas un manque de volonté, mais une véritable maladie, une stratégie de survie que le cerveau a mise en place. On passe de « je suis nulle » à « je suis malade et j’ai besoin d’aide ».
  3. L’effet miroir : Le groupe devient un miroir bienveillant. Les expériences des autres éclairent nos propres mécanismes inconscients. Une participante raconte comment sa peur de décevoir la pousse à des crises d’hyperphagie, et soudain, quelque chose fait tilt en vous.

Car ensemble, on se porte beaucoup plus loin. Le groupe crée une dynamique, une énergie qui soutient chaque membre, même dans les moments de doute.

L’hypnose et le groupe : le duo gagnant pour une perte de poids durable

Dans mon approche thérapeutique, le groupe n’est pas une option, il est au cœur du processus de guérison des TCA. Pendant que les séances d’hypnose individuelles vont travailler en profondeur sur les racines inconscientes du trouble – les blessures, les loyautés familiales, le manque de sécurité intérieure –, le groupe vient ancrer ce travail dans le réel.

Il est le lieu où l’on teste de nouvelles façons d’être, où l’on apprend à gérer ses émotions sans nourriture, où l’on célèbre les micro-victoires. Le groupe est le filet de sécurité qui permet à l’inconscient de lâcher prise en toute confiance. Là où les thérapies classiques échouent parfois, c’est souvent par manque de ce soutien concret et continu.

Conclusion : de l’isolement à la sororité, le chemin vers la libération

Sortir des troubles alimentaires n’est pas une course, c’est un long chemin de réconciliation avec soi-même. Et ce chemin, vous n’avez plus à le faire seule. Le groupe de parole transforme la honte en force, l’isolement en sororité. Il est le rappel constant que la guérison est possible et que d’autres sont là pour vous tenir la main.

Si vous êtes prête à briser le silence, sachez qu’un cercle de femmes bienveillantes vous attend, prêtes à vous dire :

Tout le monde compte sur moi… Je mange trop, pourquoi ?

Tout le monde compte sur moi… Je mange trop, pourquoi ?

Le piège de la performance : quand la nourriture devient votre anxiolytique

« Je contrôle tout dans ma boîte, mais le soir, c’est le frigo qui me contrôle… »

Cette phrase, c’est celle de Claire, dirigeante d’une PME en pleine croissance. Une femme brillante, respectée, qui pilote des projets complexes et manage une équipe avec une poigne de fer. Mais derrière cette façade de réussite se cache une souffrance silencieuse, une bataille qu’elle mène seule, chaque soir, avec la nourriture.

Le stress de la dirigeante et le refuge alimentaire

Pour beaucoup de femmes entrepreneurs et de dirigeantes, le stress n’est pas une option, c’est le quotidien. La pression des résultats, la charge mentale infinie, la peur de l’échec… tout cela s’accumule. Et quand les émotions débordent, que les mots ne suffisent plus, la nourriture devient le réconfort le plus accessible. C’est une anesthésie rapide, un pansement sur une anxiété qui gronde. Claire me l’expliquait en séance :

« Une crise de boulimie, c’est la seule fois de la journée où mon cerveau se met sur pause. Je ne pense plus aux chiffres, aux deadlines, aux problèmes à résoudre. Je mange, c’est tout. »

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De la compulsion alimentaire à la perte de contrôle

Au début, c’est insidieux. « Je mange un peu plus quand je suis triste » ou stressée. Puis, le mécanisme s’installe. La nourriture n’est plus un plaisir, mais un besoin impérieux pour calmer le système nerveux. Le stress déclenche la compulsion, la compulsion entraîne la culpabilité, et la culpabilité nourrit le stress. C’est un cercle vicieux qui s’auto-alimente. On passe de « la nourriture me réconforte » à « je ne sais plus m’arrêter quand je commence à manger ». On se cache pour manger, rongée par la honte. Le corps change, le poids augmente, et l’estime de soi, déjà mise à mal, s’effondre un peu plus. Ce que Claire pensait être une solution est devenu son pire ennemi, aggravant sa souffrance.

L’illusion des régimes pour soigner le trouble alimentaire

Face à cette prise de poids, le premier réflexe est souvent de vouloir reprendre le contrôle. Et quoi de mieux qu’un régime pour ça ? C’est une erreur classique, et pourtant si destructrice. Pour une femme habituée à tout maîtriser, la restriction alimentaire semble logique. Mais c’est oublier une chose essentielle : le problème n’est pas dans l’assiette, il est dans l’inconscient.

Les régimes ne font qu’ajouter de la frustration à la pression. Chaque écart est vécu comme un échec monumental, renforçant l’idée qu’on est « nulle » et « sans volonté ». Cela ne fait qu’augmenter le besoin de réconfort… et prépare la prochaine crise de boulimie ou d’hyperphagie. On ne peut pas régler un problème émotionnel avec une solution purement logique.

Retrouver la paix avec l’hypnose : une approche pour l’inconscient

Sortir de ce piège demande de changer de stratégie. Il ne s’agit pas de « mieux » contrôler, mais de comprendre pourquoi on a besoin de ce contrôle et de cette compensation alimentaire. C’est là que l’hypnose devient un allié puissant. Elle ne vous dit pas quoi manger. Elle s’adresse directement à votre inconscient, là où sont logés les automatismes, les peurs et les véritables causes du stress.

L’hypnose permet de désamorcer les schémas qui lient le stress à la nourriture. Elle vous apprend à gérer la pression différemment, à accueillir vos émotions sans les manger. C’est un travail en profondeur pour reprogrammer la relation à soi-même et à l’alimentation. Il ne s’agit pas de lutter contre les compulsions, mais de les rendre inutiles.

En trouvant la sécurité et l’apaisement à l’intérieur de vous, le besoin de remplir un vide avec la nourriture disparaît progressivement. Vous apprenez à vous consoler avec vos propres ressources, à devenir votre propre alliée.

L’objectif n’est pas de devenir une machine parfaite qui ne ressent rien, mais de redevenir une humaine qui vit ses émotions, pleinement, sans qu’elles ne dictent sa conduite alimentaire. Se libérer des TCA, ce n’est pas seulement retrouver son poids de forme ; c’est surtout retrouver la paix, la légèreté et la liberté d’être soi-même, au travail comme dans la vie.

Pourquoi je mange mes émotions ?

Pourquoi je mange mes émotions ? Le poids du silence et le don de soi

« Pendant que je pense aux autres, qui pense à moi ? »

Cette phrase, c’est celle que j’ai dit à Léa, 28 ans, en séance.
Elle me regarda surprise en entendant cette phrase, comme si un déclic venait de se faire.

Léa souffre de crises de boulimie depuis l’adolescence et a enchaîné les régimes pour tenter de contrôler une prise de poids liée à l’hyperphagie. Sa vie, c’est un don permanent : pour son travail, pour ses amis, pour sa famille. Elle est le pilier, celle qui écoute, qui console, qui trouve des solutions. Mais le soir, quand la pression retombe, le silence de son appartement se remplit par le bruit des paquets qu’on ouvre. La nourriture devient sa seule confidente.

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Le cercle vicieux du trouble alimentaire : S’oublier pour les autres

Léa, comme tant d’autres femmes que j’accompagne, a appris très tôt à mettre ses propres besoins de côté. Exprimer une émotion, un désir, une fatigue ? Ce serait égoïste.

Elle a grandi avec cette idée qu’il y a toujours « plus malheureux que soi », que ses propres peines sont dérisoires face à celles des autres. Alors, elle a appris à taire. À enfouir. La tristesse, la colère, la frustration… Toutes ces émotions sont devenues des visiteuses indésirables, immédiatement étouffées sous une couche de réconfort alimentaire.

La nourriture ne juge pas, elle ne demande rien en retour. Elle est là, disponible, pour combler un vide qui n’est pas celui de l’estomac, mais celui de l’âme. Ce mécanisme est au coeur de la boulimie et de l’hyperphagie : manger pour ne pas ressentir.

La culpabilité de prendre soin de soi : un frein à la guérison

Le vrai déclic pour Léa, ce fut de réaliser que ce don de soi permanent l’épuisait et nourrissait son trouble alimentaire.

« C’est difficile de penser à moi, j’ai l’impression de les abandonner, de ne pas être une bonne personne si je ne suis pas là pour eux. »

Cette culpabilité est une prison dorée. Elle empêche de se poser la question essentielle : de quoi ai-je besoin, moi ? Le manque de confiance en soi alimente ce schéma. On cherche dans le regard et la reconnaissance des autres une valeur qu’on ne s’accorde pas à soi-même. On donne, on donne, en espérant recevoir un peu de cette estime qui nous fait défaut. Mais le puits est sans fond. Et les crises continuent, comme un rappel brutal que quelque chose ne va pas.

L’hypnose pour désamorcer la bombe émotionnelle

Les régimes n’ont jamais fonctionné pour Léa, et pour cause : ils ne font qu’ajouter de la restriction et de la frustration sur une blessure émotionnelle. Ils traitent le symptôme (le poids, l’alimentation) sans jamais aller voir la cause.

Le trouble du comportement alimentaire n’est pas un problème de volonté, mais le langage d’une souffrance.

C’est là que l’hypnose change radicalement la perspective. En état d’hypnose, on ne parle pas de calories. On parle à l’inconscient, ce gardien de nos émotions enfouies. On apprend à identifier ces émotions trop longtemps ignorées, à comprendre leur message, à leur donner le droit d’exister sans passer par la nourriture. C’est un travail de libération qui permet de désactiver les automatismes.

Apprendre à s’aimer pour mieux aimer les autres

Sortir de la boulimie ou de l’hyperphagie demande du temps. C’est un chemin pour réapprendre à s’écouter, à s’autoriser à être fatiguée, triste ou en colère sans culpabiliser.

Et ce qui est merveilleux, c’est que prendre soin de soi n’est pas un acte égoïste. Au contraire. En se remplissant de l’intérieur, en apaisant ses propres tempêtes, on devient plus disponible, plus authentique, et plus forte pour les autres. Léa a compris que prendre du temps pour elle n’était pas oublier les autres, mais devenir un modèle inspirant.

En s’autorisant à vivre ses émotions, elle donne inconsciemment la permission à son entourage de faire de même. Le chemin vers la guérison des TCA n’est pas seulement un chemin vers un rapport apaisé avec la nourriture ; c’est un chemin vers soi. C’est choisir, enfin, de penser à soi.

Troubles alimentaires : 10 minutes pour évaluer l’intensité de vos troubles

10 min pour évaluer précisément ses troubles alimentaires


Vivre avec un trouble du comportement alimentaire (TCA) est un combat quotidien, souvent mené en silence. On peut se sentir perdu, ne pas savoir par où commencer ou même douter de la possibilité de s’en sortir un jour. Et si le premier pas vers la guérison était de comprendre où vous en êtes précisément ?

Pour vous aider à y voir plus clair, j’ai développé pour mes clientes un puissant outil d’auto-évaluation. Ce questionnaire, rempli tous les mois, va vous permettre d’évaluer l’évolution de vos troubles.
Est-ce que ma situation empire, s’améliore ou stagne ?

C’est un peu le pèse-personne des troubles alimentaires. Il permet de mesure l’intensité précisément : où est-ce que je progresse ? Et où est-ce que j’ai encore du travail à faire.

Faire ce test, c’est comme allumer une lumière dans une pièce sombre. Soudain, vous ne voyez plus un monstre informe, mais les objets qui le composent. Vous commencez à identifier les déclencheurs, à comprendre les mécanismes. Vous réalisez que la crise de boulimie n’est pas le problème, mais le symptôme d’une souffrance plus profonde. C’est la première étape indispensable pour sortir des TCA. On ne peut pas combattre un ennemi qu’on ne voit pas.

Le trouble du comportement alimentaire, qu’il s’agisse de boulimie ou d’hyperphagie menant à une prise de poids, n’est jamais une question de nourriture. C’est une stratégie de survie que votre inconscient a mise en place pour vous protéger d’émotions trop douloureuses. Le vide, l’angoisse, la tristesse, la colère…

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La fin du doute : mettre des mots sur le chaos intérieur

Notre outil est conçu pour être simple, rapide et efficace. Voici ce qui vous attend :

  • Rapide et Accessible : 40 questions ciblées à remplir en environ 10 minutes.

  • Un Suivi Mensuel : Nous vous invitons à le refaire chaque mois pour visualiser concrètement vos progrès, renforcer votre motivation et ajuster votre stratégie.

  • Anonymat Garanti : Votre bien-être est notre priorité. Vous pouvez choisir de remplir le questionnaire de manière totalement anonyme.

  • Thérapeutique par Nature : Les réponses proposées vous montrent le chemin à suivre. Vous comprendrez instinctivement quelles habitudes viser pour progresser.

Interprétez votre résultat pour mieux agir

À la fin du questionnaire, vous obtiendrez un score situé entre 0 et 100. Ce chiffre est un indicateur précieux pour comprendre où vous en êtes :

  • Un score proche de 100 indique une intensité maximale des troubles alimentaires.

  • Un score de 13 ou moins signifie que vous êtes sur la voie de la sortie définitive des TCA !

Quel que soit votre résultat, ne le voyez pas comme un jugement, mais comme une information. C’est votre point de départ, et à partir de là, tout devient possible.

Quel suivi ?

La première fois que vous allez le remplir, c’est pour évaluer là où vous en êtes. Et les premières pistes à parcourir. 

Ne le prenez pas à la légère, chaque question a leur importance. 

Ex : ne pas savoir dire « non » à son entourage et source d’accentuation des troubles alimentaires.

Donc plus vous cocherez de cases des personnes à qui vous savez dire « non » et meilleur sera votre note.

La deuxième fois où vous allez le remplir : vous allez pouvoir voir la progression parcourue (ou non). 

L’idée étant de soit se remotiver, soit de sortir de l’ignorance et du déni pour aller chercher des VRAIS résultats.

Par exemple, un très bon score de progression est de -15% d’un mois à l’autre.
C’est le cas des clientes sur le programme Hypnose Poids Plume, mais elles travaillent entre 2h et 4h par semaine pendant 6 mois, donc ça finit par payer. 

Mais pas de panique, vous allez bien y arriver par vous-même si vous souhaitez tracer votre propre chemin.

Toujours utile que vous verrez que les questionnaires vous suivent mois après mois.

Sortir des troubles alimentaires n’est pas impossible, il faut juste de la méthode.

Comment progresser ?

Ce questionnaire à remplir tous les mois a été pensé pour vous donner une chose à travailler après l’autre.

Dans les troubles alimentaires, on peut vite être perdu par tous les sujets qu’il faudrait éventuellement travailler. Mais comment faire pour être précis ? C’est pourquoi j’ai pensé le questionnaire pour que vous suiviez les réponses étape après étape.


Ex : Passer de la lettre A à la lettre B, de la lettre B à C… 

Plus la lettre est basse (D,E…) et plus vous êtes proches de la sortie des troubles alimentaires. 

Et après ? L’Hypnose pour accélérer votre guérison

Comprendre est la première étape. Agir est la seconde. Le score obtenu vous donne une cible, mais comment l’atteindre ?

C’est là que l’hypnose entre en jeu. En identifiant les mécanismes profonds qui nourrissent vos troubles (gestion des émotions, image de soi, schémas inconscients…), l’hypnose permet de les reprogrammer durablement à la source. Les résultats du questionnaire sont un excellent support pour personnaliser nos séances et cibler directement les points qui nécessitent le plus d’attention.

Une fois votre résultat obtenu, si vous sentez que le moment est venu d’aller plus loin, nous vous inviterons à planifier un appel téléphonique gratuit.

Ensemble, nous pourrons discuter de vos résultats et explorer comment un accompagnement par l’hypnose peut vous aider à vous libérer durablement et à retrouver une relation saine et apaisée avec la nourriture.

Ne restez plus dans le flou. Prenez 10 minutes pour vous, pour comprendre et pour initier le changement.

Le questionnaire est votre point de départ. Il vous offre la clarté. Il vous montre que vous n’êtes pas seule et que votre souffrance est légitime. Il vous ouvre la porte vers une compréhension nouvelle de vous-même.

 

Perte de poids : comment maigrir ? (Dossier complet)

Perte de poids et hyperphagie : comment maigrir ?

« Je mange pour combler un vide que je ne comprends pas. »

Cette phrase, c’est celle de Sarah, 34 ans, assise dans mon cabinet pour la première fois. Des années qu’elle se bat. Contre son corps, contre la nourriture, contre elle-même. Son histoire est celle de milliers de femmes qui souffrent d’hyperphagie : un combat incessant où chaque régime est une nouvelle bataille perdue, et chaque crise une preuve de plus de son « manque de volonté ». Mais le problème n’a jamais été la volonté. Le véritable enjeu se joue ailleurs, dans un espace invisible et silencieux : l’inconscient.

Qu’est-ce que l’hyperphagie ? La faim qui ne vient pas de l’estomac

Pour comprendre pourquoi l’hypnose est si pertinente dans la perte de poids liée aux TCA, il faut d’abord définir précisément ce qu’est l’hyperphagie. Ce n’est pas « trop manger » à un repas de fête. C’est une pathologie qui répond à des critères spécifiques.

Définition de l’hyperphagie : au-delà de la compulsion

L’hyperphagie boulimique (ou Binge Eating Disorder) se caractérise par des épisodes récurrents de crises de boulimie sans comportements compensatoires (comme les vomissements dans la boulimie nerveuse). Une crise se définit par :

  • L’ingestion d’une très grande quantité de nourriture en un temps limité.
  • Un sentiment de perte totale de contrôle pendant l’épisode. « C’est comme si ce n’était plus moi qui décidais. Mon corps bouge tout seul vers le frigo, mes mains attrapent la nourriture, et je ne peux rien faire pour l’arrêter. »

Ces crises sont associées à une profonde détresse et à au moins trois des éléments suivants :

  • Manger beaucoup plus rapidement que la normale.
  • Manger jusqu’à se sentir inconfortablement plein.
  • Manger de grandes quantités de nourriture sans avoir faim.
  • Manger seul par honte et embarras.
  • Se sentir dégoûté de soi-même, déprimé ou très coupable après la crise.

Cette définition est clinique, mais derrière elle se cache une souffrance immense. La prise de poids n’est que la partie visible de l’iceberg. Le vrai poids, c’est celui de la honte, de l’isolement et du secret.

femme en crise TCA assise au sol perte de poids hyperphagie

Manger ses émotions : le mécanisme inconscient à l’œuvre

Pourquoi ce besoin irrépressible de manger ? Parce que, à un moment donné de la vie, souvent dans l’enfance, le cerveau a créé une association puissante. Il a appris que la nourriture pouvait temporairement apaiser une douleur émotionnelle.

« Quand j’étais triste petite, on me donnait un gâteau et ça allait mieux. »

« Je mangeais en cachette pour échapper aux disputes de mes parents. »

« La nourriture, c’était le seul plaisir, la seule douceur dans une vie de devoirs et d’exigences. »

L’inconscient, dans sa logique de protection, a enregistré une équation simple : Émotion désagréable (tristesse, anxiété, solitude, colère, ennui) + Nourriture = Soulagement temporaire.

Ce qui était au départ une stratégie de survie devient un automatisme, un programme qui se lance sans qu’on en ait conscience. La personne ne se dit pas : « Tiens, je me sens seule, je vais manger un pot de glace pour me sentir mieux. » Le processus est bien plus rapide et souterrain. Il y a une sensation de vide, une tension intérieure, et l’impulsion de manger apparaît comme la seule solution possible. L’hyperphagie est une forme d’anesthésie émotionnelle. La nourriture sert à remplir un vide qui n’est pas physique, à faire taire une voix intérieure qui crie trop fort.

Le piège des régimes : pourquoi le contrôle aggrave l’hyperphagie

Le parcours de celles qui souffrent d’hyperphagie est presque toujours jalonné de régimes. Régime hyperprotéiné, rééquilibrage alimentaire, jeûne intermittent, calcul de calories… La promesse est toujours la même : reprendre le contrôle. Pourtant, le résultat est invariablement le même : l’échec, suivi d’une crise encore plus violente.

L’illusion du contrôle et la perte de poids

Un régime est par définition un ensemble de règles extérieures : « mange ceci, ne mange pas cela ». Il impose une discipline de fer à un système qui est déjà en état de siège. Pour une personne souffrant d’hyperphagie, cette restriction est une véritable torture psychologique. Le cerveau ne fait pas la différence entre une famine imposée (un régime) et une famine réelle. Il active les mêmes mécanismes de survie.

« J’avais des listes d’aliments autorisés et interdits. Toute la journée, je ne pensais qu’aux interdits. C’était une obsession. Le soir, épuisée de lutter, je finissais par craquer sur tout ce que je m’étais refusé, en quantités astronomiques. Le soulagement durait quelques minutes, puis la honte m’engloutissait. » me confiait une cliente.

femme au régime aliments interdit autorisés hyperphagie TCA hypnose

Cette lutte est perdue d’avance. La volonté est une ressource limitée. En passant la journée à résister, on épuise son capital mental. Le soir, quand la fatigue et les émotions de la journée s’accumulent, les digues cèdent. La compulsion n’est pas un signe de faiblesse, c’est une conséquence biochimique et psychologique de la restriction. Plus on contrôle, plus on prépare la perte de contrôle. C’est le paradoxe destructeur au cœur de la culture des régimes.

Hyperphagie et perte de poids : et si la solution n’était pas dans votre assiette ?

L’hyperphagie, comme la boulimie, n’est pas une simple histoire de gourmandise ou de laisser-aller. C’est un trouble du comportement alimentaire complexe, une tentative désespérée de l’esprit pour gérer une souffrance émotionnelle trop lourde. Et la quête de la perte de poids qui en découle devient un piège, un masque qui cache les vraies questions.

Cet article n’est pas un programme minceur de plus. C’est une invitation à changer de regard. À comprendre pourquoi les régimes sont non seulement inefficaces mais dangereux pour l’hyperphagie, et comment une approche comme l’hypnose, qui s’adresse à la gestion des émotions et aux mécanismes inconscients, offre une voie de libération durable. Pour enfin faire la paix, non seulement avec la nourriture, mais surtout avec soi-même.

La différence fondamentale avec la diététique classique

Une approche diététique ou un rééquilibrage alimentaire classique part du principe que le problème est dans l’assiette. Le focus est mis sur la connaissance des macronutriments, l’équilibre des repas, la taille des portions. Ces informations sont utiles, bien sûr, mais pour une personne en proie à l’hyperphagie, elles sont inapplicables sur le long terme.

Pourquoi ? Parce que la crise d’hyperphagie n’a rien à voir avec la faim physiologique ou la connaissance nutritionnelle. On peut savoir par cœur qu’une tablette de chocolat contient 500 calories et la dévorer quand même. On peut savoir qu’il faut manger des légumes et pourtant se jeter sur un paquet de gâteaux.

La diététique tente de réparer le symptôme. L’hypnose cherche à guérir la cause. Demander à une personne hyperphagique de suivre un plan alimentaire, c’est comme demander à quelqu’un qui a une jambe cassée de courir un marathon en lui expliquant la technique de course parfaite. Tant que l’os n’est pas réparé, la connaissance est inutile. Ici, la fracture est émotionnelle.

L’hypnose pour la perte de poids et l’hyperphagie : un dialogue avec l’inconscient

Si le problème est un programme inconscient, alors la solution doit s’adresser à l’inconscient. C’est là toute la puissance de l’hypnose. Elle permet de contourner le mental analytique (celui qui sait tout sur les calories mais qui est impuissant face à la crise) pour aller parler directement au siège des émotions et des automatismes.

L’état d’hypnose : reprendre le contrôle en profondeur

Contrairement aux idées reçues, l’état d’hypnose n’est pas une perte de contrôle, mais un état de concentration intense, focalisé sur soi. C’est un état naturel que l’on expérimente tous les jours, quand on est absorbé par un film, un livre, ou quand on conduit sur une route familière et que notre esprit s’évade.

En thérapie, cet état est simplement amplifié et guidé. Il permet de mettre en sourdine le brouhaha mental pour écouter ce qui se passe à l’intérieur. C’est dans cet espace de calme que le dialogue avec l’inconscient peut commencer.

Identifier les racines émotionnelles du trouble alimentaire

Le premier travail en hypnose n’est pas de dire « arrête de manger », ce qui serait aussi inefficace qu’un régime. C’est de demander à l’inconscient : « Pourquoi ? Quelle est l’émotion que cette crise cherche à calmer ? Quelle est la blessure qu’elle tente de panser ? »

La cliente, en état d’hypnose, peut alors voir remonter des souvenirs, des sensations, des émotions qu’elle avait oubliées ou refoulées.

  • Pour une cliente, la crise survenait toujours après un appel avec sa mère, qui était très critique. La compulsion était une façon de « ravaler » sa colère et sa tristesse pour ne pas faire de vagues.
  • Pour une autre, le vide qu’elle cherchait à combler était lié à un sentiment profond d’illégitimité, la peur de ne pas mériter sa place. La nourriture la « lestait », lui donnait une sensation d’exister.

En identifiant la véritable source, le problème se déplace. Ce n’est plus « j’ai un problème avec la nourriture », mais « j’ai un problème avec la gestion de ma colère » ou « j’ai une blessure d’abandon ». La nourriture n’est que le messager.

Déprogrammer l’automatisme et proposer de nouvelles solutions

Une fois la cause identifiée, le thérapeute aide la personne à « négocier » avec son inconscient. L’idée clé est de reconnaître l’intention positive derrière le comportement. La partie de vous qui déclenche la crise d’hyperphagie ne vous veut pas de mal. Au contraire, elle essaie de vous protéger, de vous apaiser, avec les seuls outils qu’elle connaît.

Le travail en hypnose consiste à lui dire : « Merci de m’avoir protégée jusqu’ici. Je vois que tu as essayé de m’aider. Mais aujourd’hui, cette stratégie me fait plus de mal que de bien. Je te propose d’apprendre de nouvelles façons, plus saines, de gérer cette émotion. »

On peut alors « installer » de nouvelles réponses. Par exemple, face à la solitude, au lieu de l’automatisme « nourriture », on peut ancrer une nouvelle réponse : l’envie d’appeler une amie, de mettre de la musique, de se faire un thé chaud, ou simplement la capacité à accueillir l’émotion sans paniquer. L’hypnose ne supprime pas l’émotion, elle change la réponse à cette émotion.

De la gestion de l’alimentation à la gestion des émotions

Le chemin vers la libération de l’hyperphagie et une perte de poids saine est un chemin de développement de l’intelligence émotionnelle. C’est un apprentissage, celui que beaucoup d’entre nous n’ont jamais eu : apprendre à vivre avec ses émotions plutôt que de les manger.

Apprendre le langage des émotions pour sortir du TCA

La première étape est souvent de mettre des mots. « Je découvre que mes émotions ont des noms et des fonctions », comme le décrit le parcours type de guérison. Beaucoup de mes clientes arrivent en disant « je me sens mal » ou « je suis stressée ». Le travail consiste à affiner cette perception.

Est-ce de la tristesse ? De la colère ? De la peur ? De la frustration ? De la honte ? Chaque émotion est un signal, un message que notre corps nous envoie. La colère nous dit qu’une de nos limites a été franchie. La tristesse nous signale une perte. La peur nous avertit d’un danger.

Tant qu’on ne décode pas le message, il revient, de plus en plus fort, souvent sous la forme d’une compulsion alimentaire. Apprendre à nommer ses émotions est le premier pas pour ne plus en avoir peur.

Créer la pause : l’espace entre l’émotion et la compulsion

L’un des plus grands bénéfices de la thérapie par l’hypnose est la création d’un espace. Là où il y avait un automatisme instantané (Émotion -> Crise), on apprend à insérer une pause.

« J’apprends à ressentir sans manger immédiatement. »

Cette pause peut durer une seconde au début, puis dix, puis une minute. Dans cet espace, un choix devient possible. Je ressens la vague de l’émotion monter, mais au lieu d’être submergée, je peux l’observer. Je peux respirer. Je peux me dire : « Ok, c’est de la colère. Elle est là. Je n’ai pas besoin de la manger. Je peux juste la ressentir. » C’est une révolution intérieure. Pour la première fois, la personne réalise qu’elle peut survivre à ses émotions sans l’anesthésiant alimentaire.

Construire une nouvelle boîte à outils émotionnelle

Une fois la pause installée, il s’agit de remplir cet espace avec de nouvelles stratégies. « Je trouve d’autres sources de réconfort et de plaisir. »

Ces nouvelles ressources sont uniques à chaque personne et sont explorées en séance. Cela peut être des techniques de respiration, de la méditation, de la visualisation, l’écriture, le mouvement, le contact avec la nature… L’objectif est de construire une palette de réponses variées pour que la nourriture ne soit plus la seule et unique option.

La perte de poids devient alors une conséquence naturelle de ce travail. Lorsque le corps n’est plus inondé par des crises et par le stress chronique qu’elles engendrent, il peut enfin se réguler. Le poids sur la balance n’est que le reflet du poids des émotions non digérées. En apprenant à digérer sa vie, on permet au corps de trouver son poids d’équilibre, sans effort et sans lutte.

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Au-delà de l’assiette : la reconquête de sa vie

Guérir de l’hyperphagie et atteindre un poids de forme durable n’est pas une finalité. C’est le début d’autre chose. C’est la libération de l’énergie mentale et émotionnelle qui était jusqu’alors entièrement consacrée à l’obsession de la nourriture et du corps.

Les bénéfices d’une thérapie en profondeur sur les troubles alimentaires

Le travail agit sur toutes les sphères de la vie. Quand on guérit sa relation à la nourriture, on guérit sa relation à soi, et par conséquent, sa relation aux autres.

  • Confiance en soi : Apprendre à gérer ses émotions et à se faire confiance pour traverser les tempêtes intérieures construit une estime de soi solide, qui ne dépend plus du chiffre sur la balance.
  • Relations apaisées : En apprenant à poser ses limites et à exprimer ses besoins (au lieu de les manger), les relations deviennent plus authentiques et saines.
  • Liberté sociale : La honte disparaît. Aller au restaurant, à la plage, voir des amis n’est plus une source d’angoisse. « Ma vie sociale se réduisait à cause de ma honte. Je n’ose plus aller au restaurant de peur de faire une crise. » devient un lointain souvenir.
  • Joie de vivre : L’énergie libérée peut être investie dans des projets, des passions, des relations. La vie cesse d’être une lutte et redevient une aventure.

La véritable perte de poids est celle de la culpabilité et de la honte. Le véritable objectif n’est pas de devenir mince, mais de devenir libre. Libre de manger quand on a faim, de s’arrêter quand on est rassasié. Libre de vivre ses émotions. Libre d’être soi, tout simplement.

Femme TCA libérée hyperphagie chaînes chemin au soleil

Conclusion : Se sentir enfin légère, libérée des crises alimentaires

Le chemin pour sortir de l’hyperphagie est un marathon, pas un sprint. Il demande du courage, de la patience et, surtout, le bon accompagnement. Les régimes et le contrôle ne font qu’enfoncer dans le sable mouvant du trouble alimentaire. Ils entretiennent l’idée fausse que le problème est un manque de volonté, alimentant un cercle vicieux de restriction, de crise et de culpabilité.

L’hypnose offre une porte de sortie radicalement différente. Elle ne s’intéresse pas à ce qu’il y a dans votre assiette, mais à ce qui se passe dans votre cœur et dans votre tête. En s’adressant directement à l’inconscient, elle permet de remonter à la source du problème : les émotions non gérées et les schémas automatiques qui en découlent.

C’est une approche qui ne juge pas, qui ne punit pas, mais qui écoute et qui répare. Elle permet de comprendre que l’hyperphagie n’est pas une ennemie à abattre, mais une messagère qui vous parle de vos blessures les plus profondes. En apprenant à écouter ce message, vous ne perdez pas seulement du poids. Vous vous retrouvez.

L’objectif final n’est pas seulement de faire la paix avec la nourriture, mais de se réconcilier définitivement avec soi-même. Et si la clé pour apaiser votre faim n’était pas un régime de plus, mais un voyage à la rencontre de la personne merveilleuse que vous êtes, derrière le tumulte des compulsions ?

Qu’est-ce qui est mieux : Ozempic ou Hypnose ?

Ozempic vs Hypnose TCA : le médicament miracle Face à la Puissance de l’Inconscient

L’avis sur ce médicament miracle : Ozempic (Wegovy) fait débat.

D’un côté, il y a ceux qui se disent « Chouette ! Une piqûre et je serai guéri » et ceux qui ne sont pas de cet avis.

Et de l’autre on peut se poser la question concernant les thérapies parallèles / médecine douce dont fait partie l’hypnose, la sophrologie etc.

Les résultats semblent au rendez-vous. Ozempic, Wegovy, ces noms circulent partout, portés par des influenceurs et des articles vantant des pertes de poids spectaculaires. Pour une femme qui lutte depuis des années contre la boulimie ou l’hyperphagie, qui a tout essayé, des régimes les plus stricts aux détox les plus absurdes, l’espoir renaît.

Prendre un médicament nécessite une grande et profonde réflexion. En effet, on ne prend jamais un médicament pour le plaisir et il présente un certain nombre d’effets secondaires.

Cependant le traitement du symptôme : le surpoids, ne doit pas surtout pas masquer le mal-être sous-jacent : la relation à la nourriture et au corps chaotique.

La solution miracle qui cache la tempête

« Au début, j’étais euphorique, » me confiait une cliente. « Je maigrissais sans effort, la faim avait disparu. J’avais l’impression de reprendre enfin le contrôle. »

Ce « contrôle », c’est ce que vendent ces médicaments. Ils agissent sur le cerveau pour couper l’appétit et ralentissent la vidange de l’estomac. Le résultat est mécanique : on mange moins, on perd du poids.

Mais ce contrôle a un prix. La liste des effets secondaires est longue :

  • Nausées
  • Vomissements
  • Diarrhées
  • Constipation
  • Douleurs abdominales…

« Je passais mes journées à avoir mal au ventre. Manger devenait une angoisse, non plus à cause des calories, mais par peur de me sentir encore plus mal. »

Le corps, déjà meurtri par des années de troubles alimentaires, devient un nouveau champ de bataille.

Pire encore, ces médicaments ne règlent pas la cause profonde des TCA. Ils mettent un couvercle sur la marmite, mais à l’intérieur, ça continue de bouillir. La tristesse, l’angoisse, le vide intérieur que la nourriture venait combler sont toujours là. Et lorsque le traitement s’arrête, le poids revient, souvent avec un sentiment d’échec encore plus violent.

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Face à cette approche médicamenteuse et temporaire, l’hypnose propose un chemin radicalement différent. Ici, pas d’effets secondaires, pas de lutte contre son propre corps. L’objectif n’est pas de faire taire la faim, mais de comprendre ce qu’elle raconte.

L’hypnose est un dialogue avec votre inconscient, cette partie de vous qui a mis en place les compulsions alimentaires comme une stratégie de survie. C’est une béquille maladroite, mais une béquille quand même. En séance, nous n’allons pas la casser. Nous allons chercher ensemble pourquoi elle est là.

« J’ai compris que mes crises de boulimie, c’était ma façon de crier ma solitude, » m’expliquait une autre cliente. « Personne ne m’avait jamais demandé ce qu’il y avait derrière. On me disait juste d’arrêter de manger. »

L’hypnose permet de mettre des mots sur les maux. Elle aide à décoder le langage des émotions qui s’expriment à travers la nourriture.

Plutôt que de vous battre contre vos envies, vous apprenez à les écouter. Vous découvrez d’autres moyens, plus sains et plus apaisants, de gérer le stress, de combler le vide, de vous réconforter. C’est une libération profonde, une véritable réconciliation avec soi-même.

Comprendre les racines de l’hyperphagie et de la boulimie grâce à la thérapie

Le trouble alimentaire n’est que la partie visible de l’iceberg. En dessous, il y a des années de non-dits, de blessures, de schémas familiaux. Le travail en hypnothérapie va à la racine du problème. Il ne se contente pas de couper les feuilles qui dépassent.

Contrairement à un médicament qui impose une solution de l’extérieur, l’hypnose vous redonne le pouvoir. Vous devenez l’actrice de votre propre changement. Chaque séance est une découverte, un pas de plus vers la compréhension de qui vous êtes, loin du chaos alimentaire. C’est un apprentissage durable, qui reste gravé en vous bien après la fin de la thérapie. Vous ne dépendez de rien d’autre que de vos propres ressources intérieures.

Quand les troubles alimentaires sont trop lourds : l’alliance de l’hypnose et d’un suivi médical

Il faut être honnête. Pour certaines femmes, le poids a atteint un tel niveau (parfois plus de 100kg) que les conséquences sur la santé physique sont graves et immédiates. Le corps est en souffrance, et une perte de poids rapide peut devenir une nécessité médicale pour soulager les articulations, le cœur, et prévenir d’autres complications.

Mais un médicament ne doit jamais être utilisé seule si on veut des résultats durables. Coupler ce traitement médical à un accompagnement en hypnose est alors essentiel. Pendant que le médicament gère le symptôme (la faim, le poids), l’hypnose s’occupe de la cause profonde. Elle travaille le fond : le rapport conflictuel aux émotions, sur l’histoire personnelle qui a mené au trouble alimentaire.

Cette double approche permet de sécuriser le parcours. L’hypnose prépare « l’après-médicament ». Elle vous donne les outils pour ne pas rechuter, pour construire une relation saine et apaisée avec la nourriture et avec vous-même, une fois que la béquille chimique sera retirée. C’est la garantie d’une transformation profonde et, surtout, durable.

L’effet Ozempic naturel : comment l’hypnose réveille votre hormone de la satiété

« J’ai l’impression d’avoir un trou noir à la place de l’estomac. Rien ne peut le remplir. C’est sans fond, ça n’a pas de fin. »

Ces mots, c’est Léa qui les a prononcés lors de notre première séance. Depuis plus de dix ans, elle navigue entre des crises de boulimie épuisantes et des périodes de contrôle alimentaire extrême, une bataille perdue d’avance contre son propre corps. Comme tant de femmes que j’accompagne, Léa a tout essayé : les régimes hyperprotéinés, le jeûne intermittent, les nutritionnistes, les applis de comptage de calories. Chaque tentative se soldait par un échec, renforçant cette croyance terrible : « Je n’ai aucune volonté ».

Le dialogue rompu : quand le corps ne sait plus dire stop

Le problème de Léa, et de toutes celles qui souffrent de troubles du comportement alimentaire comme l’hyperphagie ou la boulimie, n’est pas un manque de volonté. C’est une déconnexion. Une rupture de communication profonde entre son cerveau et son estomac. Les signaux naturels de faim et de satiété sont brouillés, inaudibles, couverts par le vacarme des émotions : le stress, l’ennui, la tristesse, la solitude.

Elle ne mangeait plus parce que son corps avait besoin d’énergie. Elle mangeait pour anesthésier une angoisse, combler un vide, se punir ou se réconforter. Le résultat ? Une perte totale des repères. La sensation de faim est devenue une anxiété permanente, et celle de satiété, un mythe inaccessible. Son estomac criait « stop », mais son cerveau, conditionné par des années de lutte, n’entendait plus rien. C’était un trou noir émotionnel, pas un vide physique.

L’inconscient, le chef d’orchestre de notre faim

Ce que la plupart des approches oublient, c’est que la digestion et la sensation de satiété ne sont pas gérées par notre conscience. Vous ne décidez pas consciemment de libérer telle ou telle hormone pour signaler à votre cerveau que vous êtes rassasiée. C’est votre système nerveux autonome, piloté par l’inconscient, qui s’en charge.

Face à cette déconnexion, on pense à des solutions médicamenteuses comme l’Ozempic. Leur stratégie est chimique : augmenter artificiellement la quantité d’hormones GLP-1 pour forcer le signal de satiété à parvenir au cerveau. Mais c’est une béquille. Notre approche est radicalement différente. Il ne s’agit pas d’augmenter la dose d’hormones, mais d’augmenter votre sensibilité au signal qu’elles émettent déjà. Le signal est là, simplement, vous n’arrivez plus à l’entendre. Pourquoi ? À cause du bruit.

L’hypnose pour baisser le bruit et remonter le son de la satiété

Imaginez que le signal de votre estomac est une conversation à voix basse dans une pièce très bruyante. Le bruit, c’est tout ce qui perturbe votre écoute intérieure :

  • Le stress chronique qui met votre corps en alerte.
  • Les émotions négatives que vous avez appris à manger plutôt qu’à ressentir.
  • La charge mentale qui vous épuise et vous déconnecte de vos sensations.
  • Le manque de confiance en soi qui vous fait douter de tout, y compris de vos propres ressentis.

Ce bruit est assourdissant. Il couvre la voix subtile de la satiété. Certaines personnes sont plus sensibles à ce bruit que d’autres, et leur dialogue intérieur est complètement noyé. L’hypnose agit comme un réducteur de bruit parasite. Elle permet de calmer le système nerveux, d’apaiser le tumulte mental et émotionnel. En baissant le volume de ces interférences, on peut enfin remonter le signal de satiété du corps. L’hypnose réactive votre capacité à entendre clairement le message de faim : « C’est bon, j’ai assez mangé, je suis satisfaite ».

Les avantages : plus de sensibilité, moins de lutte

Cette approche a des bénéfices immenses par rapport à une simple gestion des symptômes :

  • C’est une solution durable : En vous réapprenant à écouter vos signaux, vous réparez le mécanisme à la source. Vous ne dépendez plus de rien ni de personne pour savoir quand vous arrêtez.
  • Vous reprenez le pouvoir : Ce n’est pas une substance externe qui vous contrôle, c’est vous qui retrouvez la maîtrise de vos sensations. C’est incroyablement libérateur.
  • C’est une transformation globale : En réduisant le « bruit » du stress et de l’anxiété, vous ne faites pas que mieux manger. Vous dormez mieux, vous êtes plus sereine, plus affirmée. Vous agissez sur la cause profonde de votre mal-être.

Progressivement, Léa a senti la différence. Les crises s’espaçaient. « C’est étrange, l’autre jour, j’ai mangé un carré de chocolat et j’étais satisfaite. Je me suis arrêtée là. Ce n’est pas que je me suis forcée, c’est que je n’en avais simplement plus envie. » Elle n’était pas « guérie » par magie, elle avait simplement appris à baisser le bruit pour entendre son corps.

Le chemin vers une guérison durable des TCA ne se trouve pas que dans une assiette ou dans une seringue, si vous souhaitez passer le cap.

Il est aussi à l’intérieur de vous. La vraie satiété n’est pas un estomac plein, mais un esprit en paix.

Ainsi, l’hypnose a bien des avantages et aborde le sujet sous un nouveau jour et si la clé n’était pas de manger moins, mais de vous écouter mieux, avec moins de bruit autour ?